Richard Guino, Femme à sa toilette à genoux ou Grande Baigneuse, 1915

« Je ne suis l’élève que du Louvre. En ai-je copié des maîtres ! […] Ce sont là les bons professeurs : ils sont muets. On prend d’eux ce dont on a besoin, et non ce qu’ils voudraient donner. C’est là l’utilité des musées »

Richard Guino, in Guillaume Janneau, Céramique et Verrerie, n°773, 1926

 

Richard Guino, Maternité ou Grande Maternité, 1920

« Le jeune statuaire Guino vient d’exposer ses œuvres récentes [dont] le plâtre original d’une Maternité qui pourrait bien être un chef-d’œuvre »

Guillaume Janneau, La renaissance de l’art français et des industries de luxe, n°12, 1924

 

Richard Guino, Caryatide et Atlante, 1911

 « Et ce n’est pas le moindre mérite de l’artiste que d’avoir pu créer tout un peuple de Lédas au cygne, de couples enlacés, de satyres amoureux et de bacchantes ivres sans que jamais aucune impression équivoque ne se dégage de ses créations. »

Georges Keller-Dorian, in L’Art & les artistes, n°14, février 1921

 

Richard Guino, Plat rond avec la femme assise à la grappe, 1929

« À la vérité, ce qui constitue l’objet de mes recherches, c’est de donner une possibilité de plus à la sculpture »

Richard Guino, Céramique et Verrerie, 1926

Richard Guino, Renoir peignant aux Collettes, 1917

        - « Quelle était l’atmosphère des Collettes à l’époque ?

        - Ah une atmosphère splendide ! […] il y avait beaucoup de bonheur. Renoir était très   bon, très simple. »

Richard Guino, dans Les bonnes adresses du passé : Auguste Renoir, film documentaire de Roland Bernard, 1968 (60 min)

Pierre-Auguste Renoir et Richard Guino, Torse de Venus Victrix, 1915

 « Guino a traduit en sculpture le sourire des femmes de Renoir et la plénitude de leurs formes, mais sans perdre de vue l’idéal que lui avait inspiré l’étude de la statuaire hellénique »

Thiébault-Sisson, in Le Temps, « Art & curiosité – Les sculptures de Guino », 3 décembre 1919